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CASTELLI, JOSH-DUNCAN « JE N'AI PAS PEUR DE MOURIR, J'AI PEUR DE NE PAS AVOIR ASSEZ VÉCU »
La vie est trop compliquer . Ma vie est trop compliquer ! Je ne sais plus ou donner de la tête , je ne sais plus ce qui est bon ou mal . Alors je me demande si un nouveau départ ne me ferai pas mal et puis il parait que Lucky Strike s'est l'idéal pour trouver l'amour de sa vie alors pourquoi ne pas tenter ma chance en passant par cette agence de rencontre . C'est différent des mes anciennes rencontres mais vu comment ça se déroule , on peut pas dire que ça sera pire non ? Donc me voilà ! Au milieu de tous ça . Me voilà a remplir ce formulaire , j'espère trouver mon âme soeur un jour . Je croise les doigts ! (c) crédit DANS TA TÊTE ✘ Tous de toi Âge : 28 ans Date & Lieu de naissance : Los Angeles , le 28 avril 1985 Nationalité : Américain Occupation, statut social : Avocat , Plus ou moins célibataire Orientation sexuelle : Hétérosexuel. Couleur : Gris Livre de chevet : Mission: Black List #1 , Eric Maddox Film préféré : Il faut sauver le soldat Ryan Style de musique : Classique , Blues , Jazz Plat préféré : Un bon hamburger 3 Destinations de rêve : Londres , Berlin , Venice Tes passions : Le droit , le dessin Ton rendez-vous parfait : Une soirée dans une fête foraine , mon coté enfantin Toi en 1 mot : Droit Qualité : Correct , Doux , Gentil Default : Egoiste , Imbécile , Drageur
| (c) crédit DANS TON CORPS ✘ Livre toi Taille : - de 1m65 / 1m65-1m70 / 1m70-1m75 / 1m75-1m80 / + de 1m80 Silhouette : maigre / fine / sportive / normal / ronde Cheveux : blond / chatain / brun / noir / roux Yeux : bleu / marron / vert Percing : Non Tatouage : Un sur l'omoplate
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FIVE MINUTES TO CHANGE YOUR LIFE « Ambre, lâche ça, vas-t-en ! » Je n’avais que onze à l’époque, peut être douze, je ne saurais vraiment le dire. Ce dont je me souviens parfaitement au contraire, c’est moi, mon visage emprunt d’inquiétude, barrée par un sourire faussement confiant. Oui j'avais cette capacité à gâcher la vérité à tous, leurs yeux ne voyant que le jolie sourire sur ce visage doux et calme, sur ses lèvres rosées, tranchant si parfaitement avec ce teint clair, presque de porcelaine. Personne ne voyait rien, jamais. Ambre était pourtant capable de voir au-delà de ce simple sourire, sans doute parce que je l'avais élevée, plus que notre propre mère, sans doute parce qu'elle savait ce qui se cachait derrière ce sourire. Mon paternel ne nous laissait jamais aucune chance, surtout pas à moi, voilà pourquoi je tentais sans doute si fort de la protéger. « Ça va aller. Je reste avec toi. » Ses mots me semblent grotesques aujourd’hui, mais je comprends qu’elle ai mis tant de détermination à rester auprès de moi, j'étais l'aîné, je m'étais investi d’une mission qu'elle tentait surement d’apaiser, restant, fermant les yeux, tentant de lui éviter les coups, en me tenant simplement là.
Je me rappelle peu mes six premières années, sans doute parce que rien ne me touchait réellement, rien ne me semblait inoubliable dans la vie que je menais. Je voyais peu ma mère, toujours absente, ou enfermée dans la cuisine, fumant cigarette sur cigarette, regardant fixement sa bouteille de whisky, diminuant chaque fois qu’elle se réservait un verre. Mon père, avachi dans un canapé complètement défoncé, ne se levant que pour partir travailler dans cet usine merdique qui faisait de lui, avec le temps, l’ombre de celui apparaissant sur cette vieille photo de mariage. Ma sœur, elle, était le lien que j’avais avec ces parents, elle était la plus belle chose qui me soit jamais arrivé, la petite sœur à qui je voulais éviter la douleur, la tristesse, celle à qui je ne voulais pas que soit voler son enfance, son adolescence. Pourtant jamais elle ne m’entendit me plaindre, jamais elle ne vit une larme sur ma joue, j'étais fort, je savais me contrôler, au contraire de la petite fille qu'elle était. J'avais sept ans quand elle est venu au monde, à partir de cet instant, je me suis occupé d'elle. Mon père était déjà sujet aux crises de violences avant ma naissance, mais après, ce fut bien pire. Je représentais tout ce qu’il détestait, le fils d’un autre… le résultat de la tromperie de ma mère, j’étais le batard qui pleurait dans la petite chambre, il me haïssait. Je fus dès ma sixième année, son punching ball préféré, malgré les tentatives de ma mère pour me protéger, malgré les cris de ma mère, rien n’y faisait, il m’en voulait d’être ce que j’étais, et je n’avais aucune possibilité de me défendre. « ESPÈCE DE SALE GARCE ! » Une nouvelle crise venait d’éclater. J’étais rentré de l’hôpital la veille, me remettant difficilement d'un accident de vélo qui aurait pu me couter très cher, et depuis je n’avais croisé ni mon paternel ni ma mère, à leurs occupations respectives, cuisine et whisky pour l’une, canapé et bière pour l’autre. Ce ne fut que ces cris venant du salon qui me sortirent d’un sommeil profond et réparateur. J’étais quasiment remis, la rééducation m’avait fait le plus grand bien. Je tournais la tête, cherchant ma sœur, qui, il me semblait, se trouvait dans la chambre quelques temps auparavant. Je me levais, descendant les escaliers qui me séparaient encore du salon. J’entendais hurler, les mots se bousculant dans la bouche de cet homme répugnant, s’entremêlant parfois. Un bruit de verre brisé, une bouteille ayant atterris contre un mur sans doute. Je regardais discrètement, voyant ma sœur, en pleure devant mon père qui en quelques secondes étaient devenu rouge, levant la main pour porter le coup de trop. Je sortais de ma cachette, m’interposant entre eux, je poussais si violemment mon paternel qu’il alla atterrir sur sa précieuse télévision désormais inutilisable. Ma sœur fut plus rapide que je ne le pensais, voyant la fureur dans les yeux du seul père que l’on ai jamais eu, elle attrapait déjà mon bras, tentant de me sortir de la pièce, de m’éviter la raclée du siècle. Mais je ne bougeais pas, j’étais prêt, je l’attendais ce moment.
Je n’aurais sans doute pas du, mais cette colère, cette impuissance à défendre ceux qui devaient l’être depuis tant d’année m’avaient aveuglée. Je voyais son visage et tout ce que j’avais en moi était du mépris, un besoin irrépressible de le frapper, de lui faire mal, comme il l’avait si souvent fait avec moi, elle Ambre, avec ma mère… Mon premier coup fut libérateur, j’étais pourtant hésitant, c’était la première fois que je frappais, que je me retrouvais de l’autre côté du poing, mais ce ne fut pas le cas très longtemps. Je perdis le contrôle ce jour là, frappant encore et encore, pour chaque souvenir, pour chaque coup, chaque larme, chaque rêve brisé, tout ce que j’avais jamais vu, entendu, toutes les déceptions, les douleurs, je frappais encore et encore, ne pouvant m’arrêter. Pourtant cela arriva, la main de ma sœur se refermant sur mon poignet, que je repoussais violemment, ses bras enfermant mes épaules, me trainant à l’extérieur, avec une force que je ne lui connaissais pas. Je me retrouvais par terre, à genou, n’entendant rien, ne sentant que le sang battre dans mes veines, ma revanche, je l’avais, pourquoi n’étais-je donc pas soulagé ? « Pourquoi tu as fait ça… il va te le faire payer ! » Je sentais les larmes dans sa voix, et pour la première fois elle craquait. Mon père ne leva plus jamais la main sur moi, ni sur ma sœur, sans fut-il traumatisé ce jour là, peut être eut-il peur, je ne saurais le dire... Je quittais la maison quelques mois plus tard, laissant ma mère et ma sœur, n'ayant pas le courage de leur dire au revoir. J'appris des années plus tard que ma mère avait quitté mon père, quelques semaines après mon départ, s'offrant une nouvelle vie avec Ambre. « Adria, attends ! » J’étais dans un couloir, quittant mon dernier cours de la journée. Cela faisait déjà trois jours qu'Adria refusait simplement de me parler, elle ne répondait pas à mes appels, elle était soit disant toujours « absente » de la maison, et même lorsque je venais chez elle, et frappais à sa porte, elle feignait de ne pas être là. Je commençais à me demander quoi faire de plus ! « Attends je te dis ! » Je l’avais suivi, espérant bien la croiser après les cours, mais même là elle trouvait toujours le moyen de me semer. Cette fois il n’était pas question que j’abandonne avant de lui avoir parlé. J’attrapais son bras, sans trop la serrer, mais assez pour qu’elle s’arrête, se retourne. « Qu’est-ce que tu veux ?! » Bonjour à toi aussi rayon de soleil… je ravalais mes paroles, soupirant face à cet air buté sur son visage, ce qu’elle pouvait être insupportable ! « A ton avis ? Que tu me parles, tu me fais la gueule depuis trois jours et je sais pas pourquoi ! » J’avais sans doute commencer une conversation qui me forcerait à parler plus en quelque minutes que depuis ces trois mois passé ici. « Tu sais pas pourquoi ? Tu te fous de ma gueule ?! T’es vraiment con ! » Elle s’était dégagé, me fusillant du regard, elle avait déjà tourné les talons. J’étais autant en colère contre elle et son putain de caractère que contre moi-même ! Je me doutais bien que cela avait à voir avec ce qu’il s’était passé dans cette maudite cuisine, mais elle, qu’est-ce que cela pouvait bien lui faire ! « Hey Josh, tu m’évites ou quoi ?! » Je me retournais, voyant Olivia qui me souriait, c’était trop, elle, elle m’avait pourris la vie ! « Oui, alors lâche moi ! » Je partais déjà, la plantant là, ce n’était pas sympa, mais je n’étais pas en état de réagir autrement.
22h48. Et merde, j’allais sans doute avoir des problèmes si quelqu’un me voyait mais je m’en foutais ! J’avais déjà commencé à grimper à la palissade, me retrouvant rapidement sur le balcon donnant dans la chambre d'Adria. La porte fenêtre était entrouverte et j’entrais, elle n’était pas là. Je refermais derrière moi, bien décidé à l’attendre lorsque du bruit s’éleva de la salle de bain. Elle en sortit, ses cheveux mouillés, les joues rouge, sans doute prête à aller se mettre au lit. Lorsqu’elle me vit elle ouvrit la bouche comme pour crier, mais elle se retint, plaquant une main sur ses lèvres pour s’empêcher d’ameuter tout le quartier. « C’est moi ! Du calme… » Elle levait les yeux au ciel, soupirant avec force, avant de me regarder mauvaise. « Mais t’es dingue ou quoi ?! T’as bien failli me filer une attaque ! C’est nouveau ça, tu te faufiles dans les chambres des filles en pleine nuit maintenant non mais y a vraiment quelque chose qui va pas chez toi… » Elle n’en finissait plus, faisant la liste de tous ces « trucs » bizarres qu’elle avait noté à propos de moi et de mon comportement… une rengaine. « Ça va ! J’ai compris… » Je m’asseyais sur son lit, la regardant toujours, attendant qu’elle se décide, elle vint finalement s’assoir. « Il fallait bien que je trouve un moyen de te parler non ?! Tu pars en courant à chaque fois que tu me vois, et tu réponds à aucun de mes appels… » J’avais eu envie de dire qu’elle était chiante et bornée, mais ce n’était pas le moment. « Et ça t’étonne ? » Euh…. Oui ?! Mauvaise idée. « Tu me reproche quoi au juste ? » Elle levait déjà les yeux au ciel, se levant pour attraper sa brosse à cheveux sur la commode, elle ne la passa qu’une fois dans ses cheveux avant de la pointer de façon menaçante dans ma direction, celle-ci accentuant chacun de ses mots. « Qu’est-ce qui t’as pris avec Oli ? Je croyais que tu la trouvais bizarre ou je ne sais quoi… et finalement tu l’embrasses… dans MA cuisine ?! C’est n’importe quoi ! T'as aucune logique, tu fais n'importe quoi ! Et le pire c'est que tu me dis rien, tu fais ça en douce... OH ET ARRÊTE DE SOURIRE ! » Je souriais, c’était plus fort que moi. Je me levais, attrapant cette brosse qui dans ses mains pouvait facilement devenir une arme de destruction massive. « Jalouse ? » Elle prit un air faussement choquée alors que le rouge lui montait à nouveau aux joues. « Jamais. » Je l’embrassais, posant mes lèvres sur les siennes, quelque chose que je rêvais de faire depuis longtemps… Elle me repoussait, indécise, et finalement elle m’embrassait à son tour. « Arrête deux secondes ton mélodrame... ! » Tout c'est enchainé beaucoup trop vite à mon goût. Cette relation, je l'avais voulu certes, j'avais voulu la mettre dans mon lit, depuis l'instant où j'avais vu cette silhouette, ce visage, ce regard. Son répondant avait achevé de me séduire. Oui après des efforts à n'en plus finir, j'avais réussi, je l'avais eu, elle était passé dans mon lit, encore et encore. Ce n'était pas une simple relation d'un soir, je voulais toujours plus, je ne pouvais me rassasier, et c'est ainsi que nous avions fini par avoir cette relation particulière, ce que l'on appellerait une amitié améliorée, bien que côté amitié nous avions des lacunes. Un homme et une femme ne sont pas fait pour être simplement amis j'en suis convaincu. Même si nous avions fixer certaines règles, dont notamment le fait qu'ils ne n'agissaient entre nous, que de s'amuser, les choses se compliquaient. « Que j’arrête ! T’es qu’un pauvre con ! Je suppose que je devrais te féliciter pour avoir coucher avec une pétasse ! » Elle était en colère, et j'avoue que je ne comprenais pas pourquoi... Tout cela, nous, ça n'avait rien de sérieux, n'est ce pas ?! C'est du moins ce que je pensais avant qu'elle ne me foute dehors. Je tentais de l'arrêter, la saisissant par le bras, mais la petite avait plus de force que je ne le pensais, me repoussant tout à sa colère elle avait déjà filé, moi me retrouvant seul comme un con.
Je ne saurais expliquer pourquoi cela m'emmerdait à ce point ! Elle n'était qu'une fille parmi tant d'autre. D'accord avec elle cela avait quelque chose de différent, mais surement pas au point de regretter, surement pas au point de vouloir la récupérer ?! Apparemment si... « Je te demande juste de m’écouter !! C’est dingue d’être aussi bornée… » J'étais mal parti et je le savais, et plus je tentais de me rattraper, plus je m'enfonçais. « On s’était rien promis ! Y a rien d’exclusif entre nous, alors qu’est-ce qui t’emmerde à ce point à la fin ? » Je sentais une nouvelle crise se pointer, et comme à mon habitude je ne pouvais faire qu'une chose... fuir. « Laisse tomber ! » Et c'est ainsi que cela s'est terminé, du moins pour l'instant.
(c) crédit | MEG' ✘ 19 ans Alors pour ce qui est de ma disponibilité je dirais environs 6/7 pour le rp plutôt 2 à 3/7 tout dépend de mon boulot il faut le dire, mais j'essaie de répondre à mes sujets le plus rapidement possible. Sinon sur mon avatar c'est le sexymerveilleuxparfait Daniel Gillies (a) Quant au code ça doit être : oki by norah. - Quoi d'autre... ah oui ma plus grande ambition dans la vie est d'avoir la puissance et le charisme de Pikachu. - je sors -
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